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SPECTACLE ANNUEL 2014
samedi 14 juin, 19h30

dimanche 15 juin, 14h00

 

salle jean-Eudes

3535 Boulevard Rosemont

Montréal

 

billets en vente à l'ABM

pré-vente: 20.00$

à la porte: 25.00$

 

Dans un jardin
Chorégraphie et mise en scène d’Élisabeth Bizoirre

 

Resolve

Ballet contemporain

Chorégraphie d’Élisabeth Bizoirre

 

 

SUITE EN BLANC

Ballet néoclassique

Adaptation et mise en scène d’Alexis Simonot d’après

la chorégraphie de Serge Lifar.

 

Structure du ballet

1 acte pour 8 thèmes.

* La sieste

* Thème varié

* Sérénade

* Pas de cinq

* Mazurka

* La cigarette

* Adage

* La flûte

* final

 

Le rideau s’ouvre sur l’ensemble des danseurs disposés sur le plateau. Trois danseuses exécutent le trio de «La sieste». Deux danseurs et un soliste interprètent ensuite le pas de trois «Thème varié». Une soliste, accompagnée de huit danseurs se tenant par la main, se distingue ensuite dans la «Sérénade». Puis vient un pas de cinq conçu pour une fille et quatre garçons. C’est ensuite la délicate et sensuelle variation de «La cigarette». Un soliste masculin interprète à son tour une élégante «Mazurka», suivie d’un très joli «Adage» et d’une pétulante «Flûte» réservée à une excellente technicienne. Tous les danseurs se rejoignent ensuite sur scène pour le final, agrémentée d’une somptueuse diagonale de coupés-jetés pour les garçons et de trente-deux fouettés pour l’une des solistes.

 

Les interprètes exécutent ainsi variations, pas de trois, pas de cinq, et adages. Une œuvre du plus bel esthétisme dédiée à la pureté de la gestuelle. Une succession de visions belles et raffinées, une succession de compositions aussi délicates que virtuoses.

 

L’esthétique néoclassique
«Suite en blanc est une véritable parade technique, un bilan de l’évolution de la danse académique depuis des années, une facture présentée à l’avenir par le chorégraphe d’aujourd’hui… En composant Suite en blanc, je me suis préoccupé de danse pure, indépendamment de toute autre considération ; j’ai voulu créer de belles visions qui n’avaient rien d’artificiel, de cérébral. Il en résulte une succession de véritables petites études techniques, de raccourcis chorégraphiques indépendants les uns des autres, apparentés entre eux par un même style néo-classique».Suite en blanc se veut ainsi une superbe démonstration de ce style néoclassique qu’a introduit Lifar en France. Mais qu’est-ce-que ce fameux style ? Il s’agit d’un apport génial à la danse purement académique sur laquelle se fonde Lifar : «Depuis 1935, à l’Opéra de Paris, j’ai entrepris une réforme du mouvement, de la technique et de l’esthétique de la danse, qu’on a qualifiée de néoclassique». On observera avec intérêt les nombreuses licences prises avec la danse d’école au sein du ballet Suite en blanc.

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